Extraits du LIVRE D’OR
Daniel STIENNON
Il est donc, à ce titre, l’unique et le seul héritier spirituel du Dr Lefebure. C’est ce qui lui fait dire, par moments, « je suis le Dr Lefebure ». « Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut… » (Genèse ch.1v.4). Jésus est donc la Parole créatrice, Dieu et Sa Parole ne font qu’un, ce qui expliquerait pourquoi Jésus déclara : « Moi et le Père nous sommes un » (Jean ch.10v.30).
Et aussi, que l’on ne peut saisir la personnalité du « personnage » qu’après l’avoir vu animer une « formation continue renforcée ». C’est uniquement lors de ce type de formation que l’on peut appréhender toute la puissance qui émane de lui.
Lorsqu’il se retrouve à animer un groupe de pratiquants de niveau formation continue renforcée, la puissance et l’énergie vibratoire qu’il dégage ne peuvent laisser personne indifférent, comme le laissent entrevoir ces quelques témoignages glanés.
Cela fait plus d’une trentaine d’années que je connais Daniel S. À l’époque, il était 3e Dan et chef instructeur dans une très grande école d’Aïkido sur Paris. Et c’est dans le cadre d’un tatami qu’eut lieu notre rencontre. Le soir, après les cours de cet art martial, il organisait, entouré de quelques pratiquants, des séances de Phosphénisme. À l’époque, le Dr Lefebure venait de finir la rédaction de son livre Koundalini Tome 1, du moulin à prière à la dynamo spirituelle, et c’est à partir du plan donné à l’intérieur de ce livre que Daniel Stiennon a construit un Gyrascope avec une roue de vélo.
Une vieille roue de vélo, du papier noir, des miroirs découpés chez un miroitier, un pied de photographe pour fixer la roue, une dizaine de participants alignés sur deux rangs, avec les plus petits devant, et où chacun, à tour de rôle, devait passer derrière la roue pour la lancer et la faire tourner en même temps qu’une forte lampe éclairait les miroirs.
Et voilà comment, par ce procédé, qui peut paraître, à l’heure du Gyrascope Virtuel, bien rudimentaire, j’ai commencé comme d’autres à découvrir le Phosphénisme.
Je me rappelle qu’au bout d’un mois de pratique, j’étais réveillé les nuits en plein sommeil par des éclairs lumineux qui envahissaient ma tête, et qui finissaient toujours par me transporter avec une sensation de déplacement à grande vitesse je ne sais où. J’avais 22 ans, des connexions neurologiques qui s’établissaient facilement, mais aucune connaissance du domaine (ésotérique) que je découvrais. Je me laissais donc la plupart du temps transporter par l’observation passive d’un spectacle qui me paraissait à la fois merveilleux, impressionnant et fort curieux. Puis la roue cette fois de la vie a tourné, je me suis marié… mais je suis toujours resté en contact avec Daniel S., mais sans pouvoir pratiquer autant de temps que je l’aurais voulu. Je n’ai jamais abandonné le Phosphénisme, car les résultats obtenus n’ont jamais quitté ma mémoire.
Roger A.
Nous sommes plus d’une centaine, peut-être 120 pratiquants pour un week-end de formation continue renforcée.
Il y a là des personnes qui, comme moi, viennent pour la première fois, et des anciens. Tous les niveaux sociaux et culturels semblent représentés. Du cadre supérieur, du chef d’entreprise, de la secrétaire de direction, de l’ouvrier jusqu’au chômeur. Mais ce qui, tout de suite, m’a le plus marqué, c’est l’aspect très convivial de ce type de stage. Un peu comme si tout le monde semblait se connaître de longue date. Peut-être parce que ce qui nous réunit, c’est le Phosphénisme.
La première heure est consacrée à « lancer les rythmes ». Sous la direction de Daniel Stiennon, nous enchaînons sans aucun temps de repos les exercices de Rythmo-Phosphénisme supérieur, comme par exemple les exercices de la triode spirituelle, de bi et de la tri concentration en incluant à chaque fois les exercices de mantras et de rythmes rapides.
Puis Daniel Stiennon nous divise en cinq groupes, il n’y a aucune hiérarchie, chacun peut intégrer le groupe de son choix. Chaque groupe encercle un tapis, ou plus exactement un matelas gonflable, genre lit d’appoint gonflable. Une personne s’allonge et devient le récepteur, le reste du groupe devient émetteur. Daniel Stiennon insiste très fortement sur le fait que le récepteur doit se laisser porter par les sensations comme un bouchon de liège sur la vague, tout en pratiquant l’exercice de concentration sur un détail de la sensation. Les émetteurs, quant à eux, doivent pratiquer la projection d’un exercice de Rythmo-Phosphénique de niveau supérieur en direction du récipiendaire.
À peine l’exercice est-il commencé que j’assiste à un véritable festival de transes initiatiques. Toujours guidé et parfaitement bien encadré par Daniel Stiennon, celui-ci nous explique que le récepteur ne doit pas bouger, qu’il doit s’efforcer, soit de canaliser toute l’énergie au niveau du bas-ventre et la faire monter progressivement pour la faire sortir par le sommet de la tête, soit de rester très concentré au niveau de son champ de vision, la concentration sur un détail de la sensation devant aider.
Au bout d’une vingtaine de minutes, il est demandé au récepteur de décrire les sensations et les perceptions qu’il a eues. Et c’est un peu comme avec le regard d’un enfant qui découvre les yeux émerveillés ses cadeaux au pied du sapin de Noël que chacun décrit ce qu’il a vécu et perçu. Il serait beaucoup trop long et trop fastidieux pour moi de décrire les phénomènes, mais ceux-ci peuvent facilement être résumés en quelques mots.
Une partie du corps éthérique se met à vibrer. Pour ma part, ce fut la première fois au niveau du bras gauche, puis cette sensation a envahi tout mon corps éthérique (mon double), se transfèrant par moments à mon corps physique. Mais à chaque fois, Daniel Stiennon est là pour aider à ce que toute l’énergie passe bien dans les zones du cerveau liées à la pensée ou à l’imagination, afin que l’énergie ne soit pas perdue (gaspillée) en déferlant dans les zones motrices.
À chaque fois, il insiste sur le fait qu’il existe deux sortes de transe. La plus courante, la transe physique, à proscrire, car elle ne débouche sur rien de concret, elle est certes plaisante, mais conduit à ce que le Dr Lefebure a appelé un cul-de-sac sensoriel. Vous avez de l’urticaire, vous vous grattez, et au bout d’un moment vous éprouvez du plaisir à vous gratter. Vous êtes dans un cul-de-sac sensoriel, vous êtes dans un état pathologique, vous pouvez même vous faire saigner et cela vous procure du plaisir.
C’est pourquoi, insiste fortement Daniel Stiennon, il faut se garder de toute manifestation physique, les énergies de synchronisation neurologiques doivent se faire dans les zones de la pensée ou celle de l’imagination, alors on atteint de vrais états initiatiques.
La transe physique, nous explique Daniel Stiennon, c’est l’ecstasy qui conduit à la dépendance et à la déchéance, au contraire de la transe mentale qui permet d’atteindre les couches les plus profondes de notre conscience.
La vraie voie initiatique et spirituelle ne peut s’entrevoir qu’au travers d’une parfaite connaissance de ce piège qui peut guetter chaque pratiquant, car la transe physique est facile à obtenir et très plaisante, mais si on n’y prend pas garde, comme déjà dit, elle conduit à une impasse sensorielle dont il sera très difficile de se défaire.
Heureusement, à chaque avancée dans ce nouveau domaine qu’est le chemin initiatique, Daniel Stiennon est là pour le baliser. Et c’est ainsi que, comme pour la totalité des participants, à chaque exercice mon cœur et mon esprit se remplissent d’une joie incommensurable. Il faut vivre cette expérience une fois dans sa vie pour en comprendre tout le sens.
Certains débutants sont très impressionnés, ce qui les empêche de profiter pleinement de l’expérience. Sans l’aide des émetteurs, Daniel Stiennon s’approche et les touche une ou deux secondes pour leur transmettre les rythmes, et c’est alors que tout échappe. Impossible de contrôler quoi que ce soit, on ne peut que se laisser porter par les sensations.
Prenez une chaise de bureau qui peut tourner sur elle-même, asseyez-vous, fermez vos yeux, lancez la chaise à l’aide de vos pieds et faites une vingtaine de tours, puis stoppez la chaise d’un coup. Les sensations cénesthésiques sont très fortes, vous avez l’impression de continuer à tourner, ou, pour utiliser un langage plus ésotérique, vous avez l’impression que votre « double » tourne, qu’il se détache de votre corps physique, mais qu’il tourne en sens inverse où vous tourniez physiquement. C’est déjà une expérience assez forte. Lorsque Daniel Stiennon vous transmet un rythme, cette même sensation est mille fois plus forte. C’est un peu comme un pilote d’avion qui prendrait plusieurs g consécutives à une accélération très brutale.
(g = unité pour mesurer l’accélération)
Même lorsque la nuit on rêve que l’on vole, que l’on se déplace à très grande vitesse, on n’atteint même pas 1/10e de la sensation provoquée par Daniel S. Tout ça pour bien faire comprendre que c’est vraiment très puissant. De même que l’on est surpris de découvrir que l’on peut produire des phosphènes et que l’on s’émerveille de ses couleurs, de même tout le monde est stupéfait de découvrir cette possibilité de nos facultés mentales (psychiques).
J’ai vu pleurer de joie des professeurs de yoga qui avaient passé de longues années à la recherche de ce phénomène sans obtenir de grands effets.
J’ai vu des incrédules, des sceptiques, mais tous, dès la première expérience, étaient fascinés par ce qu’ils avaient obtenu. Je rappellerai que le Phosphénisme, c’est avant tout une expérience intérieure et enrichissante, comme nous le rappelle Daniel Stiennon, et que cette aventure ne peut se faire que par la pratique. Merci Daniel.
Marc N.
…En formation continue renforcée… je suis assise face à Daniel, il projette sur moi le rythme. À peine ai-je fermé les yeux, que je me sens comme balayée par une onde si forte que j’en perds l’équilibre et qui me fait tomber de la chaise… Comment définir l’indéfinissable… Très fort, très puissant, comme un volcan qui dégage son énergie. Un énorme grand merci Daniel.
Béatrice J.
Suite à une journée de formation continue renforcée. Cela aurait pu commencer par : il était une fois un gyrascope… Je rêve, une fée me présente une petite boule de couleur violette qu’elle tient dans la main. Puis, elle me montre qu’elle peut faire léviter cette boule à quelques centimètres au-dessus de sa main. Je me rapproche d’elle et je lui montre qu’en approchant ma main de sa boule, je peux la faire tournoyer, et qu’en même temps je peux léviter. Je lui montre que mes pieds ont décollé du sol. Et c’est à ce moment que la boule vient tourner autour de mes pieds. Je la suis des yeux, elle remonte le long de mon corps en s’enroulant autour, et c’est en essayant de la suivre que je me retrouve à tourner dans le “cosmos” comme un derviche tourneur. Je ne tourne pas très vite, mais je tourne avec une grâce majestueuse. Je me sens comme enveloppée par un sentiment de bien-être cotonneux. Je tourne pendant un bon moment tout en me laissant porter par les sensations.
Puis, appliquant l’exercice de concentration sur un détail de la perception et de la sensation, là, en l’occurrence, un point lumineux, je me retrouve à tournoyer un peu plus vite avec un sentiment d’élévation. J’ai l’impression de ne pas en finir de m’élever.
C’est une sensation très puissante, très forte, tout en étant très douce et très agréable. Puis, je perçois une lumière qui envahit progressivement l’espace dans lequel je me trouve. Puis, je retrouve ma fée et sa boule, qui devient évanescente. Et je sens en moi monter un sentiment de plénitude, l’émotion est trop forte, je me réveille de cette merveilleuse expérience. Merci à Daniel Stiennon.
Myriame L.
Matérialisation de l’énergie éthérique
Voici le détail d’un exercice donné par Daniel STIENNON en journée de formation continue renforcée.
L’exercice consiste à placer une personne contre un mur blanc, puis à fixer 10 centimètres au-dessus de sa tête. Au bout d’un moment, on perçoit un halo lumineux autour de la tête de la personne ainsi observée. La densité de ce halo lumineux va dépendre de deux facteurs :
– le premier : l’état d’esprit de la personne que l’on observe.
– le second : la capacité qu’a notre cerveau à mettre de la lueur diffuse autour de l’image rétinienne que l’on a de la personne.
En langage ésotérique cette observation est appelée : perception du corps éthérique.
Les phosphénistes avancés perçoivent également comme des amas de couleurs autour de la personne, appelés perception de l’aura, mais qu’il est plus juste d’appeler densification de notre chaos visuel.
Son interprétation sera fonction de nos facultés de « voyance ». Comme nous l’explique Daniel Stiennon : c’est comme une cartomancienne qui interprète ses cartes. Les cartes pouvant être un support pour déclencher ses flashs de voyance.
Plus notre cerveau aura ce que l’on peut appeler des capacités de voyance, plus celui-ci nous permettra d’obtenir dans notre champ visuel des informations.
Après avoir bien pris conscience de la lueur diffuse autour de la personne observée, celle-ci, d’un coup, s’agenouille aussi rapidement que possible. On observe alors que son « double » reste comme collé au mur pendant plusieurs secondes, avant de redescendre comme s’il voulait regagner le corps physique. Ceci est dû à l’effet d’imprégnation de la lueur diffuse dans notre champ visuel, et son mouvement à la faculté de « voyance » de notre cerveau. C’est le même phénomène que les apparitions fantomatiques.
Puis, Daniel STIENNON montre que cette densification éthérique (lueur diffuse) peut se faire dans la paume de sa main. C’est ainsi que nous avons perçu une boule d’énergie qui, suivant le mouvement de son bras peut se déplacer. Mais surtout, étant assis sur une chaise, les yeux fermés, avec un bandeau oculaire sur les yeux, il plaça cette substance éthérée juste au niveau de mon bas-ventre. À l’instant même, et sans être prévenu de l’expérience, j’ai senti une colonne d’énergie m’envelopper. Puis d’un coup, je me suis senti comme transporté dans un autre « monde », autre état de conscience. C’était très fort et impressionnant, j’aurais voulu que cela dure…
Comme quoi, notre propre énergie éthérique (ou lueur diffuse) peut se trouver amplifiée par des personnes en raison de la très grande transmissibilité des phénomènes phosphèniques et donner lieu à une augmentation de nos facultés latentes, nous plongeant ainsi dans des couches inexplorées de notre conscience.
Merci à Daniel Stiennon pour cette fantastique expérience.
Yvan L.
Le voyage intérieur
Après que Daniel ait déposé une boule d’énergie au niveau de mon plexus solaire, je me suis sentie aspirée à l’intérieur de mon propre corps.
J’ai voyagé dans mes veines, mes artères et certains de mes organes.
Étrange sensation que celle de visiter son organisme.
J’ai suivi les recommandations de Daniel, j’ai insufflé à tout mon organisme une énergie de tonicité.
Merci à Daniel pour ce voyage intérieur et toutes ses bonnes explications.
Noëlle D.
Fagotage de l’énergie universelle
La lueur diffuse est transmissible par télépathie et d’autant plus facilement que l’émetteur est proche du récepteur. Alors, quand Daniel projeta son énergie sur moi, je me suis senti comme « hors de mon corps ». Puis Daniel me demanda de rassembler mon énergie au niveau du bas-ventre et de focaliser toute ma concentration sur l’énergie que je sentais grandir dans mon bas-ventre.
« Fagote-la » me disait-il. « Fais-la tourbillonner et monter à travers l’axe de ton corps jusqu’au sommet de ta tête, puis projette-toi avec cette énergie. »
Et là, bonjour les sensations, qu’il serait trop long de décrire. De toutes façons, il faut le vivre pour le croire…
Grand merci Daniel
Gérard W.
Quelle nuit !
La journée de formation continue renforcée s’est déroulée avec son festival d’expériences, mais ce n’est rien à côté des nuits qui ont suivi ces journées.
Déplacements à vitesse vertigineuse, tourbillons dans une féerie de couleurs, présentations de textes sacrés (indéchiffrables pour moi), écoutes de symphonies astrales, contacts avec des énergies pensantes (qui me diffusent un enseignement), contacts avec des lettres d’or sacrées qui m’ont transporté dans un état indescriptible, pour ne citer que cela…
Merci à tous pour la transmission de l’énergie et à Daniel pour ses conseils sur comment évoluer dans les plans de conscience.
Pascal T.
Lumière dans mon champ visuel
L’énergie de Daniel STIENNON a eu comme effet de me faire voir une énergie quasiment surnaturelle.
Énergie, si j’ai bien compris les explications de Daniel, provoquée par l’augmentation de l’activité neurologique qui se traduit dans mon cas par des flashs lumineux dans mon champ visuel.
Sur les consignes de Daniel je me suis projetée en direction de ces luminosités et je les ai traversées, ce qui a eu pour effet de me donner encore plus d’énergie, m’amenant à découvrir des perceptions et des sensations incroyables.
À tous les émetteurs, merci.
À Daniel, un grand merci de m’avoir permise de réaliser des expériences en toute quiétude.
Valérie H.
Puissance de l’énergie interne.
L’énergie, que m’a transmise Daniel Stiennon, m’a fait vivre une expérience intense.
Daniel m’avait demandé de canaliser cette énergie au niveau du Chakras Muladhara. J’avais la sensation que l’énergie était comme un volcan en fusion prêt à exploser. Et j’ai tenté avec difficulté de contenir cette énergie avant qu’elle ne se libère.
Et lorsque ceci a eu lieu, je n’ai plus eu aucune perception de mon corps physique. J’avais l’impression d’être dans du coton ouaté avec mes pensées qui échappaient complètement à mon contrôle.
Je m’esclaffais intérieurement « mais où suis-je ? ».
Les perceptions étaient délicieusement agréables et j’aurais aimé que l’expérience dure plus longtemps. Une demi-heure c’est vraiment trop court !!!
Durant la nuit qui a suivi cette expérience de formation continue renforcée (F.C.R.), j’ai eu un contact avec le Dr LEFEBURE.
Aurais-je capté, ou Daniel m’a-t-il transmis ? un électron de Dr LEFEBURE ? En tout cas Daniel a vraiment beaucoup d’énergie.
Thierry L.
Phénomène d’illumination, véritable tunnel lumineux qui conduit à un contact avec le Divin.
Lors de la nuit, qui a suivi la journée de F.C.R., j’ai été réveillé en plein sommeil, vers les 5 heures du matin, par une lumière surnaturelle.
Je n’ai pas pu m’empêcher d’ouvrir les yeux, et j’ai pensé : « qui est entré dans ma chambre et a allumé la lumière ? »
Mais j’étais seul.
En un instant je me suis souvenu que Daniel nous avait expliqué l’effet des décharges d’énergie neurologique dans le champ visuel, appelé illumination, et qui donne accès à des états de conscience avancée.
J’ai refermé les yeux et cherché à me calmer et à observer mon champ visuel.
La lumière est restée très présente, un peu moins forte, mais très présente. Je l’ai observée et je me suis senti attiré par elle, avec une sensation de vertige vraiment très agréable. J’avais la sensation d’avancer à l’intérieur d’un tunnel pour aller VERS la LUMIERE.
Je ne saurais dire pourquoi, mais j’ai le sentiment d’avoir touché à la fois à quelque chose de Divin et à la fois à un phénomène de la création.
Comme si la lumière était mon existence et que celle-ci était liée à Dieu.
Philippe D.
Une lumière éblouissante
Suis-je conscient ou bien est-ce un rêve ?
Je sens mon rythme cardiaque se ralentir. Mais est-ce le mien, ou celui de mon double ?
J’essaie de savoir mais je n’ai pas le temps de m’interroger, interrompu par un violent éclair lumineux qui traverse mon champ visuel, suivi d’une éblouissante lumière.
Je me sens alors aspiré dans un tunnel de lumière et je me dis : « cette lumière permettrait-elle le contact avec le Dieu ? »
Enfin, je me réveille émerveillé par ce qui vient de m’arriver.
Et, comme Daniel nous a expliqué précédemment comment utiliser cette lumière pour nourrir la conscience, je reforme alors un point de concentration et très vite il s’harmonise avec le rythme de mon champ visuel.
Je me sens alors porté par d’agréables sensations et m’efforce de m’y abandonner. Fantastique expérience que je ne suis pas près d’oublier.
Jean Pascal D.
Consciente dans le rêve.
Je suis consciente dans mon rêve, je cours, je saute, je m’élance pour m’envoler. Comme à chaque fois c’est un moment délicat et exaltant.
Il m’arrive de ne pas parvenir à courir assez vite. Chaque pas est pénible et je sais que je n’ai pas assez travaillé les exercices Rythmo-Phosphéniques.
Quand tout se passe bien, c’est super.
Tout commence toujours de la même façon (peut-être parce que je veux qu’il en soit ainsi ?) : je cours dans l’herbe et quand j’estime avoir assez de vitesse je saute et là je m’envole. Le paysage défile sous moi, j’évite de trop descendre et maintiens une hauteur suffisante pour ne pas risquer d’interrompre l’expérience.
Puis je pratique l’exercice de concentration sur un détail.
Dès que je sens que ma vitesse de vol diminue ou dès que je me sens un tant soit peu descendre, très vite je me retrouve emportée dans un tourbillon ascendant et parfois descendant. Je me stabilise et observe les sensations, qui sont vraiment incroyables.
Les sensations sont à chaque fois tellement fortes qu’elles finissent par me réveiller et j’en profite pour observer mon champ visuel rempli de lumière.
Avant de me rendormir, je raconte mon expérience à voix haute (mon dictaphone se déclenche à la voix). En réécoutant le lendemain cela me permet de m’imprégner un peu plus comme me l’a souvent suggéré Daniel.
Ainsi mon subconscient comprend que c’est ce que je recherche, car ce type d’expérience est vraiment très agréable. C’est ce genre de perception que je veux retrouver le plus souvent possible la nuit car c’est trop Géant.
Merci Daniel de m’avoir ouvert les yeux sur cette lumière qui a changé ma vie.
Patricia R.
Ils sont principalement destinés aux Phosphénistes qui par leur pratique ont atteint un bon niveau d’énergie. Sous la direction de Daniel Stiennon les exercices sont particulièrement intenses et riches en expériences.
Il s’agit de formation privée qui peut regrouper de 20 à plus de 200 personnes suivant le thème du stage et le niveau des pratiquants.
Pour plus d’information, voir : FORMATION
En début d’après-midi, les expériences ayant lieu au sol, tous les participants devaient provoquer une rotation de la pensée au-dessus des 2 expérimentateurs couchés au milieu de la salle. À un moment donné, cette image tourbillonnante est devenue plus dense ; j’ai commencé à sentir comme la présence d’une énergie au centre de la salle ainsi qu’une lumière venant d’en haut, éclairant de plus en plus mon champ visuel. Au moment où Daniel STIENNON a dit aux 2 expérimentateurs : « Allez, je vous entraîne dans le tourbillon », je me suis retrouvé d’un seul coup dans cette aspiration qui a engendré une rotation de la tête totalement incroyable et par la suite, à chaque fois que Daniel les entraînait, je l’étais également. L’accélération était de plus en plus forte et par moment, mon champ visuel devenait très clair.
Ceux qui sont passés au sol ont alors formé, au centre de la salle, un cercle d’une dizaine de personnes. Autour d’eux, nous autres avions pour rôle d’imaginer un tourbillon au centre, ce que je me suis efforcé de faire. Daniel a alors entraîné les participants aux « confins du Cosmos » avec des accélérations vertigineuses. À nouveau, j’ai été entraîné dans ce flot d’énergie qui a, cette fois, mis tout mon corps en oscillation et à plusieurs reprises, je n’ai pris conscience de mon état qu’au moment où je perdais totalement l’équilibre et me retrouvais au sol.
J’ai maintenant pris conscience de la puissance infinie de la pensée et l’énergie qu’elle peut engendrer.
J’ai vécu des moments fabuleux, sans comprendre réellement ce qui m’arrivait. Je peux néanmoins dire que c’était agréable et que le reste de la journée, j’ai eu une sensation de fraîcheur dans ma tête. « C’était super ! »
J’étais, il y a 2 ans, athée. Depuis, j’ai évolué dans la spiritualité. Le fait de sentir un principe créateur en toute chose a totalement changé ma façon d’aborder la vie et ce, dans pratiquement tous ses aspects.
Je me suis intéressé au Phosphénisme parce que je voulais améliorer ma mémoire et développer l’esprit d’initiative. Mais très vite, je me suis rendu compte que dans les stages d’initiation, il y avait dans cette méthode initiatique quelque chose qui me ferait évoluer bien plus rapidement si je faisais cette recherche intérieure dans le but d’épanouir ma personnalité et rencontrer des gens ayant la même démarche. Je constate déjà une amélioration dans mes idées qui sont devenues plus claires, plus précises, plus réfléchies.
Je suppose que le Phosphénisme me réserve bien d’autres aspects de la vie et de l’au-delà que j’ai encore du mal à saisir. Mais le peu que j’en connais ne me permet plus de faire marche arrière.
Fernando R.
Au bout de vingt minutes de balancements, le groupe était bien concentré et les premiers effets se firent sentir. Par moments, ma tête cessait de se balancer mais je ne m’en rendais pas compte car j’avais l’impression de continuer à faire ces balancements. Puis l’exercice prit fin ; je passais au stade de l’observation et me laissais aller. Je sentis une grande énergie se manifester à partir du bas du dos. Mon corps et ma tête se balancèrent latéralement, puis dans tous les sens.
Je me sentais d’une très grande légèreté et mon corps bascula vers l’avant. Ma tête étant relâchée vers le bas, je sentis toute l’énergie monter le long de ma colonne vertébrale et se répandre dans ma tête. Tous les picotements et toute la chaleur qui se trouvaient dans mon corps passèrent dans la tête. Je ne pensais pas qu’un jour, je puisse ressentir une telle force en moi. Je ne voulais pas que cela cesse. Je me sentais mieux que bien. À ce moment-là, le mot nerf n’avait plus aucune signification. Lorsque je repris contrôle de moi-même, mon corps était détendu, je me sentais flotter. Je n’essayais même pas de me lever car mes jambes étaient comme flageolantes ; je pense qu’elles ne m’auraient pas portée. Ce fut un grand moment, très fort en sensations et en émotions.
2e grande expérience avec Daniel Stiennon. J’étais assise face à face avec une autre personne qui me projetait un phosphène et devait se concentrer sur le chaos visuel. J’avais le bandeau et je me concentrais sur le rythme, en visualisant à partir du périnée un disque qui tournait et laissait échapper des étincelles tourbillonnant et montant le long de ma colonne vertébrale en un rythme régulier, jusqu’au sommet du crâne, puis redescendant en tourbillonnant tout autour de mon corps. Au bout de quelques minutes, mon corps se mit à faire des rotations que je ne contrôlais pas. C’était comme si je voulais décoller du sol. Puis Daniel mit sa main sur mon épaule et le rythme tourbillonnant de la gerbe d’étincelles, au niveau de mon dos et de ma tête, devint beaucoup plus fort et intense et ce tourbillon allait en augmentant de la tête aux pieds. Puis je sentis des pulsations incontrôlables de tous mes muscles. Tout tremblait en moi. Je ne savais même plus où je me situais dans la pièce. Mais je me sentais très proche de Daniel qui continuait à me porter dans l’exercice pour aller toujours plus loin.
Il est très difficile d’exprimer toutes les émotions qui se dégagent de ces exercices car c’est avant tout un vécu et les mots me paraissent si ternes, comparés à ce que j’ai ressenti…
Je remercie chaleureusement Daniel Stiennon de m’avoir fait vivre ces moments si forts et si intenses.
Nathalie R.
J’ai participé à la première journée de formation. Il est difficile de transcrire ici ce qu’il en fût vraiment car les mots ont peu de valeur devant de telles choses.
Dès le début de la journée qui me faisait un peu peur, une grande confiance m’a habitée. Je me suis risquée à participer. Cela signifiait s’allonger sur un matelas. Autour, les gens se concentraient sur moi, transmettant rythmes et énergies. Comment décrire ce qui se déroula alors ? En commençant par le début : ma main droite. Cette dernière se mouvait sans que je la contrôle vraiment. Pourtant, comme on venait de nous l’expliquer, j’anticipais le mouvement et sans transition aucune, je me retrouvais emportée ou transportée vers l’ailleurs. Quel est cet ailleurs ? Je l’ignore. Mais je peux affirmer avoir perdu toutes mes références matérielles (surtout le matelas sur lequel je me trouvais) auxquelles j’étais habituée, tout en étant aspirée à une vitesse prodigieuse. Ce qui me paraît important de noter ici est le fait que seuls quatre de mes amis (présents ce jour-là) paraissaient m’accompagner dans mon « expérience ». Cette présence me rendait plus qu’heureuse et me rassurait. Elle m’aidait aussi car vivre cela pour la première fois peut être effrayant.
Depuis Dimanche, je suis heureuse de vivre, heureuse d’avoir osé, heureuse de pratiquer à mon niveau et selon mes besoins le Phosphénisme. Depuis Dimanche, j’ai reçu beaucoup de compliments. Étranges coïncidences direz-vous, mais à vous d’en conclure ce que vous voulez. Pour moi, les faits sont là, indéniables. Institutrice, depuis que je pratique, je me sens plus sûre dans mon métier. Les choses se passent au mieux.
Mais encore une fois, que sont les mots par rapport à tout ce qui est vraiment quand on prend un peu sur soi et que l’on fait du Phosphénisme ?
Myriam G.
Lors d’un stage de Formation continue, j’avais décidé de ne pas aller sur le tapis. Mais Daniel m’invita à y aller, ce que je fis et voici l’expérience qui s’ensuivit :
« Je suis arrivée dans une immensité d’un bleu intense et là, assise comme sur le bord d’une corniche, je contemple le Cosmos qui est à portée de main et pourtant si éloigné »… Fantastique… pas d’autre mots.
Anne M.